Une étude de population menée aux USA auprès des adultes âgés de 18 ans et plus a révélé que la consommation d’alcool a augmenté pendant la pandémie de Covid-19 et est restée élevée après celle-ci.
Même traité, le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) a un impact délétère sur le développement de l’enfant, sur plusieurs plans.
La thiamine protège vraisemblablement des effets délétères d’une consommation chronique d'alcool, mais on ne peut pas encore prouver que cette thiamine soit capable de restaurer les tissus endommagés par l’alcool.
Chaque semaine, en Belgique, en moyenne 20 jeunes âgés de 17 ans sont admis aux urgences en raison d’une intoxication alcoolique. C’est ce que révèle l’enquête annuelle de l’Agence intermutualiste qui réclame le développement rapide d’un plan alcool.
Le microbiote intestinal et l’alcool entretiennent des relations troublantes. Chez certains patients alcooliques, la perturbation de cette «flore intestinale» peut accentuer l’envie de boire, mais aussi les épisodes dépressifs et anxieux. «Cette modification du microbiote semble même être associée à une forme plus sévère de dépendance à l’alcool et à un risque de rechute plus élevé après un programme de désintoxication de 3 semaines», indique Sophie Leclercq, diplômée en sciences biomédicales et doctorante à l’Unité de métabolisme et nutrition de l’UCL.
Pharma-Sphere N° 303
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