Un projet de recherche européen, réunissant 300 spécialistes, a permis de poser un diagnostic pour 506 patients atteint de maladies rares, s'est réjoui vendredi l'hôpital universitaire de Gand, qui participait à cette collaboration. Les patients vivaient pour certains depuis des années dans l'incertitude de leur affection.
Des chercheurs de l'Université libre de Bruxelles et de l'Institut Jules Bordet ont découvert un nouveau mécanisme qui, en combinant l'épigénétique de l'ADN et de l'ARN, permet une régulation précise des gènes, indique vendredi l'ULB. Publiée dans la revue Cell, cette étude pourrait "révolutionner les traitements anticancéreux futurs" grâce à des thérapies personnalisées.
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