Le développement du syndrome métabolique est directement dépendant de certains paramètres de qualité de vie, notamment de la qualité du mode alimentaire. Une étude sur des femmes afro-américaines d’âge moyen à âgé (45 à 65 ans).
L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) signale, dans un communiqué de presse, qu’une récente étude sur la progression de la malnutrition montre qu’en 2022 plus d’un milliard de sujets dans le monde souffraient d’obésité.
La FDA a approuvé un nouveau «medical device» pour les personnes en surpoids ou obèses (BMI entre 25 et 40), commercialisé sous le nom de Plenity®.
Le remplacement des sucres par des édulcorants est potentiellement intéressant, car il promet de réduire la contribution des sucres à l’apport calorique quotidien et de diminuer ainsi le risque de prise de poids. Toutefois, les preuves des effets des édulcorants sur la santé sont contradictoires.
Il est établi que les sujets obèses avec syndrome métabolique ont un risque de développer une maladie cardiovasculaire trois fois plus élevé que les personnes de poids normal sans syndrome métabolique. Une nouvelle étude indique que les personnes obèses sans syndrome métabolique ont aussi un risque augmenté, de 30% environ.
Contrairement à ce qu'avaient pu suggérer les résultats de certaines études, même lorsqu'ils ne s'accompagnent pas de désordres métaboliques, le surpoids et l'obésité ne sont pas sans risque.
Mettre à profit les médias sociaux et les appareils mobiles pour aider les jeunes obèses à perdre des kilos… L’idée ne semble pas mauvaise, mais qu’en attendre?
L'aptitude des régimes de type méditerranéen à abaisser le cholestérol-LDL est bien connue, mais ne permet pas d'expliquer la totalité des bénéfices qui leur sont attribués. Un travail mené sur un échantillon de l'étude PREDIMED (Prévention par la Diète Méditerranéenne) apporte de nouveaux éléments contributifs.
Une étude animale montre qu'il n'y a pas que la quantité de sucre consommée (et donc le nombre de calories) qui a une influence sur la santé. Le type de sucre intervient également.
L’obésité induirait une propension à l’inactivité physique en agissant sur le cerveau chez la souris. Et chez l’homme?
De précédentes études révélaient déjà le lien entre l'obésité maternelle et le développement neurologique de l'enfant, mais peu ont examiné l'obésité paternelle malgré des effets génétiques/épigénétiques potentiellement distincts...
Les enfants asthmatiques sont plus susceptibles que les autres de devenir obèses.
L’impact de l’obésité infantile sur l’asthme est différent selon qu’il s’agit du contrôle de la maladie ou du risque d’exacerbations.
Il suffit pour s'en convaincre de prendre connaissance des résultats émanant de la Dunedin Study qui a suivi une cohorte de naissance de 975 individus...
Plusieurs études publiées dans le New England Journal of Medicine ont été consacrées aux corrélations entre la consommation de boissons sucrées et le poids corporel. Les influences génétiques et l’impact des boissons aux édulcorants artificiels faisaient partie des éléments étudiés.
Une étude apporte des arguments pour encourager le remplacement des boissons sucrées par leurs équivalents light.
L’obésité juvénile est-elle liée à une différence dans la perception des saveurs?
Pharma-Sphere N° 303
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