Jean-Jacques Stene, CHU Saint-Pierre, Bruxelles
Malgré la mise en place d’un traitement médical adapté, certaines alopécies échappent au contrôle et sont responsables, dans bon nombre de cas, d’un impact psychologique conséquent. Heureusement, ces 10 dernières années ont été...
Vous souhaitez continuer à lire cet article ?
L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.
Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.
